Nos analyses fondamentales depuis début 2009
Les analyses principales depuis le début 2009 ont été plutôt validées par les faits :
- La reprise mondiale en 2009
- La sur performance des USA sur l’Europe (dès 2009)
- La capacité des Etats-Unis à générer environ 2% de croissance annuelle
- L’entrée en récession de la zone euro (à l’automne 2011)
- L’absence d’implosion de la zone euro (en dépit des nombreuses défaillances de gouvernance maintes fois soulignées)
- Le scénario de « longue stagnation » en zone euro
- La capacité de l’OMT à réduire le risque systémique européen (été 2012)
- L’absolue nécessité de recourir à un véritable « Quantitative Easing » de la part de la BCE (dès 2010)
- La poursuite de la décadence française
- Le ralentissement structurel chinois
- L’absence de risque inflationniste en dépit du gonflement extraordinaire du bilan des banques centrales du monde riche
- La survivance de l’économie de bulle
- La japonisation de la zone euro
Quelques regrets cependant :
- Nous avons surestimé les potentialités des économies émergentes (hors Chine) et négligé leurs problèmes de compétitivité qui se sont manifestés au début de la décennie 2010
- Nous n’avons pas prévu la dégringolade du prix du baril sur le S2 2014 et le S2 2015
- Nous n’avons pas anticipé le Brexit (2016)
- Nous n’avons pas bien anticipé le fort ralentissement de la zone euro fin 2018