L’or a largement progressé au total depuis le début de la crise sanitaire et surperformé les autres actifs, validant notre surpondération de l’or mise en place dès la fin janvier (voir notre Chronique Hebdo du 24 janvier : « Coronavirus : que faire si cela s’aggrave? »). Il est ainsi revenu sur ses plus hauts depuis 2013. Il a été soutenu par la chute de l’appétit pour le risque, le repli des taux réels et le repositionnement généralisé des investisseurs. Quid au-delà ?